«Je suis à Lannemezan depuis le mois de septembre, affirme-t-elle, où j'apprends l'espagnol aux élèves du collège et du lycée. Avant de partir pour la France, ma mère, qui connaissait les origines françaises de ma famille, m'a donné quelques documents. Des lettres, des actes de naissance et de décès, un livret militaire. Nous savions que les origines de notre famille se trouvaient en Ariège, du côté de Verniolle, mais nous n'entretenions plus de relations.»
Un jour, alors qu'elle se promenait à Lannemezan du côté du Monoprix, elle aperçoit un commerce de fruits et légumes, à l'enseigne de Jacques Palmer. «Ce nom a tout de suite évoqué quelque chose pour moi. En rentrant à l'internat du collège où je réside, j'ai tout de suite étudié les documents que ma mère m'avait donnés. Et j'y ai trouvé un nom : celui de Jacques Palmer. Je ne le savais pas encore, mais je venais de retrouver les racines françaises de ma famille. Je suis donc revenue au magasin.» En réalité, c'est Pierre Palmer qui tient aujourd'hui ce commerce.
Son arrière- grand-père
Quand Paulina lui parle du nom français de sa famille, Isaule, et de Verniolle en Ariège, il comprend tout de suite, car il connaît la famille concernée ! «Il a appelé en Ariège et là, j'ai appris que la branche française de notre famille se trouvait bien là-bas.»
Tout ce petit monde s'est donc retrouvé samedi dernier, chez Marie Palmer, la mère de Pierre, pour des retrouvailles en famille. Avec Anne, Gabrielle et Jacqueline, toutes venues de l'Ariège. «Je suis très heureuse d'avoir trouvé mes racines françaises.»
Le hasard fait bien les choses. Car lorsque Paulina a postulé au Chili, sur concours, pour venir enseigner en France, elle d'abord obtenu de venir en Midi-Pyrénées. Puis le hasard, encore lui, a voulu que le rectorat de Toulouse l'affecte à Lannemezan. Avec la suite que l'on connaît.
Prochaine étape pour Paulina, partir en Ariège chez sa famille, d'où son arrière-grand-père Paul Prosper Isaule était parti tout jeune pour le Chili, où il s'y était marié alors qu'il était ingénieur.
Pour Paula, la boucle est bouclée.
Un jour, alors qu'elle se promenait à Lannemezan du côté du Monoprix, elle aperçoit un commerce de fruits et légumes, à l'enseigne de Jacques Palmer. «Ce nom a tout de suite évoqué quelque chose pour moi. En rentrant à l'internat du collège où je réside, j'ai tout de suite étudié les documents que ma mère m'avait donnés. Et j'y ai trouvé un nom : celui de Jacques Palmer. Je ne le savais pas encore, mais je venais de retrouver les racines françaises de ma famille. Je suis donc revenue au magasin.» En réalité, c'est Pierre Palmer qui tient aujourd'hui ce commerce.
Son arrière- grand-père
Quand Paulina lui parle du nom français de sa famille, Isaule, et de Verniolle en Ariège, il comprend tout de suite, car il connaît la famille concernée ! «Il a appelé en Ariège et là, j'ai appris que la branche française de notre famille se trouvait bien là-bas.»
Tout ce petit monde s'est donc retrouvé samedi dernier, chez Marie Palmer, la mère de Pierre, pour des retrouvailles en famille. Avec Anne, Gabrielle et Jacqueline, toutes venues de l'Ariège. «Je suis très heureuse d'avoir trouvé mes racines françaises.»
Le hasard fait bien les choses. Car lorsque Paulina a postulé au Chili, sur concours, pour venir enseigner en France, elle d'abord obtenu de venir en Midi-Pyrénées. Puis le hasard, encore lui, a voulu que le rectorat de Toulouse l'affecte à Lannemezan. Avec la suite que l'on connaît.
Prochaine étape pour Paulina, partir en Ariège chez sa famille, d'où son arrière-grand-père Paul Prosper Isaule était parti tout jeune pour le Chili, où il s'y était marié alors qu'il était ingénieur.
Pour Paula, la boucle est bouclée.