Pessimisme. C'est le mot qui revient quand on évoque les chances de médailles chiliennes. Avec un effectif très réduit et des sportifs loin d'occuper les premiers rangs mondiaux, difficile d'espérer mieux que les places d'honneur. Sans compter que le premier Chilien éliminé des Jeux le fut avant même leur commencement. Le cavalier Ricardo Stangher s'est en effet vu obligé de se retirer puisque son cheval, Literal, n'a pas satisfait la visite médicale.
C'est ensuite l'épéiste Paris Inostroza qui s'est fait éliminé au deuxième tour. Ainsi, du côté des officiels des différentes fédérations représentées aux Jeux, on préfère miser sur le futur en emmenant de jeunes athlètes, qui seront "mûrs" dans quatre ans à Londres.
C'est le cas de la toute jeune lanceuse de poids, Natalia Ducó, championne du monde junior, mais dont la meilleure marque reste insuffisante pour viser un podium. Il y a donc des chances pour que l'athlète chilien que l'on verra le plus lors de ce tournoi olympique soit l'arbitre de football, Pablo Pozo. El Mercurio se félicitait ainsi, dans son édition de samedi, du carton rouge judicieusement infligé à un joueur hollandais.
Des surprises comme en 2004
Le président du COCh, Neven Ilic, n'écarte cependant pas l'hypothèse d'une surprise, comme il y a quatre ans, lorsque les joueurs de tennis, Nicolás Massú et Fernando González avaient ramené trois médailes, dont deux d'or. Et à Pékin, la surprise pourrait venir du tir au pistolet, avec Jorge Atalah, de la voile avec Matías del Solar ou encore du décathlon avec Gonzalo Barroilhet.
La nageuse Kristel Kobrich est pressentie pour parvenir jusqu'aux finales du 800 mètres nage libre, mais il paraît peu évident qu'elle parvienne à se glisser jusqu'au podium. Les principaux espoirs reposent donc encore une fois sur les épaules des tennismen. Fernando González, numéro 15 à l'ATP, bénéficie d'un tableau dégagé jusqu'aux demi-finales, même si pour l'or, il paraît loin du niveau de Nadal et Federer. Les Chiliens peuvent sans doute nourrir des regrets quant à la non homologation du lancer de pichet d'eau, puisque semble-t-il, ils possèdent quelques jeunes talents.
C'est ensuite l'épéiste Paris Inostroza qui s'est fait éliminé au deuxième tour. Ainsi, du côté des officiels des différentes fédérations représentées aux Jeux, on préfère miser sur le futur en emmenant de jeunes athlètes, qui seront "mûrs" dans quatre ans à Londres.
C'est le cas de la toute jeune lanceuse de poids, Natalia Ducó, championne du monde junior, mais dont la meilleure marque reste insuffisante pour viser un podium. Il y a donc des chances pour que l'athlète chilien que l'on verra le plus lors de ce tournoi olympique soit l'arbitre de football, Pablo Pozo. El Mercurio se félicitait ainsi, dans son édition de samedi, du carton rouge judicieusement infligé à un joueur hollandais.
Des surprises comme en 2004
Le président du COCh, Neven Ilic, n'écarte cependant pas l'hypothèse d'une surprise, comme il y a quatre ans, lorsque les joueurs de tennis, Nicolás Massú et Fernando González avaient ramené trois médailes, dont deux d'or. Et à Pékin, la surprise pourrait venir du tir au pistolet, avec Jorge Atalah, de la voile avec Matías del Solar ou encore du décathlon avec Gonzalo Barroilhet.
La nageuse Kristel Kobrich est pressentie pour parvenir jusqu'aux finales du 800 mètres nage libre, mais il paraît peu évident qu'elle parvienne à se glisser jusqu'au podium. Les principaux espoirs reposent donc encore une fois sur les épaules des tennismen. Fernando González, numéro 15 à l'ATP, bénéficie d'un tableau dégagé jusqu'aux demi-finales, même si pour l'or, il paraît loin du niveau de Nadal et Federer. Les Chiliens peuvent sans doute nourrir des regrets quant à la non homologation du lancer de pichet d'eau, puisque semble-t-il, ils possèdent quelques jeunes talents.