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POCHOIR À BUENOS AIRES,
LE « PLUS JAMAIS ÇA » ARGENTIN
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PHOTO AFP |
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CAPTURE D'ÉCRAN DE TWITTER |
« Je rejette l’édito de La Nacion du jour. Ni oubli, ni pardon. Cela ne sert aucun gouvernement que l’on appelle à la concorde. [Je suis] triste », s’indigne la journaliste Laura Rocha, qui a été rejointe par des dizaines et des dizaines d'autres messages.
« Je travaille à La Nacion, mais je ne partage pas l’opinion exprimée dans l’éditorial du jour. Je ne suis pas le seul journaliste de La Nacion à penser ainsi », écrit ce journaliste spécialisé dans les nouvelles technologies.
« Je travaille pour le journal La Nacion. L’éditorial du jour est grave, quel que soit le bout par lequel on le prend. Un coup porté à la démocratie et à notre pays », renchérit un collaborateur des pages sport du journal.
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UNE CENTAINE DE SALARIÉS SE SONT D’AILLEURS RÉUNIS EN ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ET ONT ADOPTÉ UN TEXTE DE REJET. |
Une centaine de salariés se sont d’ailleurs réunis en assemblée générale et ont adopté un texte de rejet.
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Les lignes publiées dans La Nacion sont la preuve en tout cas que les plaies laissées par les années noires de la dictature en Argentine sont encore loin d'être pansées.