Dans son jugement, la CIDH basée au Costa Rica a estimé que l'Etat chilien "est responsable de violation du droit à l'égalité et à la non-discrimination" de la juge Karen Atala et de ses trois filles, et d'une atteinte à leur vie privée.
Le jugement a été salué comme "historique" par les associations de défense des droits homosexuels, comme Movilh, pour qui c'est la première fois que le Chili, très majoritairement catholique et conservateur, est condamné pour discrimination sexuelle.