Plus tard, il publie et préface le livre « Poésie
Populaire des Andes » de Violeta Parra. « Il faut l’écouter parler comme elle chante, d’un ton légèrement traînant qui s’anime jusqu’à la nervosité lorsqu’il s’agit de son pays qu’elle adore, de sa mère qui lui a appris ses premières chansons, de son frère Nicanor qui l’a forcée à vaincre sa timidité pour se consacrer à ce qu’elle aimait » (Édition bilingue traduite et présentée par Fanchita González-Batlle. François Maspero, París, 1965.) Maspero participe aux campagnes de solidarité avec le Chili d'Allende. Dans les années 1970 il édite « Entretiens avec Allende sur la situation au Chili » de Régis Debray.
Populaire des Andes » de Violeta Parra. « Il faut l’écouter parler comme elle chante, d’un ton légèrement traînant qui s’anime jusqu’à la nervosité lorsqu’il s’agit de son pays qu’elle adore, de sa mère qui lui a appris ses premières chansons, de son frère Nicanor qui l’a forcée à vaincre sa timidité pour se consacrer à ce qu’elle aimait » (Édition bilingue traduite et présentée par Fanchita González-Batlle. François Maspero, París, 1965.) Maspero participe aux campagnes de solidarité avec le Chili d'Allende. Dans les années 1970 il édite « Entretiens avec Allende sur la situation au Chili » de Régis Debray.
Suite au putsch de 1973 qui renverse le président démocratiquement élu du Chili, il anime avec d’autres intellectuels le «Comité de soutien à la lutte révolutionnaire du peuple chilien».
De sa période de traducteur, nous retenons surtout « Une ardente patience », d’Antonio Skármeta, (1987) et « Le Vieux qui lisait des romans d'amour » de Luis Sepúlveda, (1992) traduit pour les Éditions Métailié, puis « Le Monde du bout du monde » (1993), « Un nom de toréro » (1994), du même auteur.
Le départ de François Maspero laisse un vide immense au sein de la communauté chilienne.