[ Cliquez sur l'image pour l'agrandir ]
CÉRÉMONIE D'OUVERTURE DU SOMMET DE LA CELAC LE 27 JANVIER 2013. PHOTO ALEX IBAÑEZ |
Une plus grande liberté de circulation des capitaux, une plus grande flexibilité du travail et sécurité juridique des investissements. L’Union européenne est le premier investisseur de l’Amérique latine. Alors qu’elle est en crise, elle a besoin de renforcer et de protéger ses investissements, d’autant qu’ils sont rentables.
Le continent latino-américain connaît des taux de croissance enviables. Loin du triomphalisme du sommet officiel, le contre-sommet organisé par les altermondialistes craint que l’Europe ne cherche le profit à tout prix pour colmater sa crise.
« Les investissements qui détruisent l’environnement, qui ne transfèrent pas de technologie, qui ne créent pas d’emploi cherchent à faire des profits extraordinaires, a affirmé le Colombien Enrique Daza de l’Alliance sociale continentale. Ils se traduiraient en Amérique latine par le prolongement de sa désindustrialisation, de ses exportations de matières premières sans valeur ajoutée qui la rendent dépendante et de la destruction de l’environnement. »
TAGS: BOLIVIE - BRÉSIL - CHILI - COLOMBIE - CUBA - MEXIQUE - UNION EUROPÉENNE