Dans le discours lu lors de la réception du Prix Nobel de littérature, le mercredi 7 décembre 2005, Harold Pinter a eu encore une pensée pour le Chili.
«Les États-Unis ont soutenu, et dans bien des cas engendré, toutes les dictatures militaires droitières apparues dans le monde à l'issue de la seconde guerre mondiale. Je veux parler de l'Indonésie, de la Grèce, de l'Uruguay, du Brésil, du Paraguay, d'Haïti, de la Turquie, des Philippines, du Guatemala, du Salvador, et, bien sûr, du Chili. L'horreur que les États-Unis ont infligée au Chili en 1973 ne pourra jamais être expiée et ne pourra jamais être oubliée.» Art, vérité et politique, par Harold Pinter
Un peu plus loin, dans le même discours, il rappelle le poème de Pablo Neruda «J'explique certaines choses» pour décrire l’actuelle guerre d’Iraq et le rôle des Etas Unis d’Amérique.
Nous voulons juste lui dire un dernier merci. Adieu compañero! Que la terre te soit douce et légère !
«Les États-Unis ont soutenu, et dans bien des cas engendré, toutes les dictatures militaires droitières apparues dans le monde à l'issue de la seconde guerre mondiale. Je veux parler de l'Indonésie, de la Grèce, de l'Uruguay, du Brésil, du Paraguay, d'Haïti, de la Turquie, des Philippines, du Guatemala, du Salvador, et, bien sûr, du Chili. L'horreur que les États-Unis ont infligée au Chili en 1973 ne pourra jamais être expiée et ne pourra jamais être oubliée.» Art, vérité et politique, par Harold Pinter
Un peu plus loin, dans le même discours, il rappelle le poème de Pablo Neruda «J'explique certaines choses» pour décrire l’actuelle guerre d’Iraq et le rôle des Etas Unis d’Amérique.
Nous voulons juste lui dire un dernier merci. Adieu compañero! Que la terre te soit douce et légère !
MC.