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Sommet Latino-américain des Chefs d'État et de Gouvernement.
Photo Alex Ibañez
Depuis deux jours, les discussions n'ont eu de cesse de tourner autour de la crise. Et nombreuses sont les déclarations qui critiquent le capitalisme. Le principal quotidien salvadorien, La Prensa Gráfica, explique que deux camps se sont formés au sein de la communauté des plus hauts dirigeants latino-américains. "D'un côté l'Equateur, le Honduras, le Nicaragua, Cuba, la Bolivie et même l'Argentine ont durement tapé sur le modèle économique capitaliste ; de l'autre, des pays comme le Brésil, le Chili, le Mexique et la Colombie se sont montrés beaucoup plus prudents."
Alors qu'il n'est pas étonnant de voir que des présidents tels que Rafael Correa (Equateur) ou Daniel Ortega (Nicaragua) s'en prennent au capitalisme dans son ensemble, la position de la présidente argentine, Cristina Fernández de Kirchner, a surpris les analystes présents sur place. "Ce que nous sommes en train de vivre, ce n'est pas l'effet caipiriña, mais l'effet jazz", a-t-elle expliqué, faisant ainsi une référence explicite au rôle des Etats-Unis dans cette mauvaise conjoncture économique.
L'article original de La Prensa Gráfica
Alors qu'il n'est pas étonnant de voir que des présidents tels que Rafael Correa (Equateur) ou Daniel Ortega (Nicaragua) s'en prennent au capitalisme dans son ensemble, la position de la présidente argentine, Cristina Fernández de Kirchner, a surpris les analystes présents sur place. "Ce que nous sommes en train de vivre, ce n'est pas l'effet caipiriña, mais l'effet jazz", a-t-elle expliqué, faisant ainsi une référence explicite au rôle des Etats-Unis dans cette mauvaise conjoncture économique.
L'article original de La Prensa Gráfica