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L'EX-LIEUTENANT PEDRO BARRIENTOS, L'ASSASSIN PRÉSUMÉ DE VÍCTOR JARA. PHOTO CHILEVISIÓN |
Au cours de sa détention, le chanteur « a été reconnu par les militaires, séparé des autres prisonniers" et transféré vers les vestiaires où étaient installées des salles de torture où il a été constamment "agressé physiquement par plusieurs officiers », selon le compte-rendu d'enquête du juge.
« Le 16 septembre 1973 », a été constatée la mort de M. Jara, dont le corps présentait au moins « 44 impacts de balles ».
En décembre 2009, des milliers de Chiliens avaient accompagné les obsèques officielles du chanteur, mort à 40 ans, qui avait été inhumé quasiment clandestinement en 1973 par sa veuve, la Britannique Joan Turner.
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« JUSTICE POUR VICTOR » AFFICHE DE LA CAMPAGNE DE LA FONDATION VICTOR JARA EN FAVEUR DE JUSTICE POUR LE CAS DE VÍCTOR JARA. |
En décembre 2009, des milliers de Chiliens avaient accompagné les obsèques officielles du chanteur, mort à 40 ans, qui avait été inhumé quasiment clandestinement en 1973 par sa veuve, la Britannique Joan Turner.
Entre 1973 et 1990, environ 3.000 personnes sont mortes ou ont disparu sous la dictature d'Augusto Pinochet, selon les organisations de défenses des droits de l'homme.
Auteur AFP