La foreuse pétrolière "RIG-421", arrêtée près de 48 heures, le temps de cimenter les parois du puits, a repris du service mercredi. Elle a déjà atteint 27 mètres de profondeur et visait 40 m mercredi soir, l'objectif final étant de 597 m, a annoncé l'ingénieur en chef des travaux Andrès Sougarret.
Cette machine, présentée comme le "Plan C" des secours, est celle sur laquelle les familles fondent le plus d'espoirs, en raison de sa vitesse et de sa puissance, mais aussi parce qu'elle perce directement un puits de 70 cm de diamètre, le diamètre requis pour extraire les hommes un à un.
L'excavateur "T-130", chargé du "Plan B" des secours, élargissant à 70 cm un puits-pilote de 30 cm de large et de 630 m de profondeur, a pour sa part été arrêté quelques heures mercredi, car il a perdu une de ses quatre têtes foreuses, qui a dégringolé 600 m plus bas.
"Les mineurs l'ont récupérée (...) mais n'ont pas été exposés, car ils se trouvent à l'écart de la zone de forage", a précisé Andrès Sougarret.
"Ce type d'impondérable" souligne la nécessité d'être prudent sur les délais, a ajouté M. Sougarret, alors que le quotidien El Mercurio a affirmé mardi que les mineurs pourraient retrouver la surface dès la mi-octobre.
"Nous continuons de penser que nous les sortirons début novembre", a-t-il ajouté.
La mise en oeuvre de ce plan "B" a repris à la mi-journée et l'excavateur a atteint 85 m dans son second passage.
Le "Plan A" des secours, un puits-pilote qui n'en est encore qu'à 30 cm de diamètre, a pour sa part atteint 376 mètres, l'objectif final étant de 702 m.
Les 33 mineurs - 32 Chiliens et un Bolivien- sont prisonniers d'un large tronçon de galerie à 700 m sous terre depuis un éboulement le 5 août. Ils ont été découverts en vie il y a un mois, le 22 août, et sont depuis ravitaillés et suivis à partir de la surface. Ils peuvent en outre communiquer avec leurs proches.
Cette machine, présentée comme le "Plan C" des secours, est celle sur laquelle les familles fondent le plus d'espoirs, en raison de sa vitesse et de sa puissance, mais aussi parce qu'elle perce directement un puits de 70 cm de diamètre, le diamètre requis pour extraire les hommes un à un.
L'excavateur "T-130", chargé du "Plan B" des secours, élargissant à 70 cm un puits-pilote de 30 cm de large et de 630 m de profondeur, a pour sa part été arrêté quelques heures mercredi, car il a perdu une de ses quatre têtes foreuses, qui a dégringolé 600 m plus bas.
"Les mineurs l'ont récupérée (...) mais n'ont pas été exposés, car ils se trouvent à l'écart de la zone de forage", a précisé Andrès Sougarret.
"Ce type d'impondérable" souligne la nécessité d'être prudent sur les délais, a ajouté M. Sougarret, alors que le quotidien El Mercurio a affirmé mardi que les mineurs pourraient retrouver la surface dès la mi-octobre.
"Nous continuons de penser que nous les sortirons début novembre", a-t-il ajouté.
La mise en oeuvre de ce plan "B" a repris à la mi-journée et l'excavateur a atteint 85 m dans son second passage.
Le "Plan A" des secours, un puits-pilote qui n'en est encore qu'à 30 cm de diamètre, a pour sa part atteint 376 mètres, l'objectif final étant de 702 m.
Les 33 mineurs - 32 Chiliens et un Bolivien- sont prisonniers d'un large tronçon de galerie à 700 m sous terre depuis un éboulement le 5 août. Ils ont été découverts en vie il y a un mois, le 22 août, et sont depuis ravitaillés et suivis à partir de la surface. Ils peuvent en outre communiquer avec leurs proches.