"Il ne fait rien pour l'instant", a dit M. Abbas, en visite à Buenos Aires, au quotidien le plus lu d'Argentine. "Mais il nous a invités à relancer le processus de paix", a-t-il poursuivi, ajoutant: "J'espère qu'à l'avenir il aura un rôle plus important".
Les Palestiniens "attendent des Etats-Unis qu'ils fassent pression sur Israël pour qu'il respecte le droit international, pour qu'il mette en oeuvre la feuille de route", a souligné M. Abbas.
"Ils peuvent faire deux choses: faire pression sur les Israéliens pourqu'ils rejettent les colonies et faire pression pour qu'ils acceptent de se retirer derrière les frontières de 1967", a précisé le président palestinien.
Lundi, son homologue argentine Cristina Kirchner avait également critiqué Washington, estimant que "les Etats-Unis pouvaient faire davantage que ce qu'ils font".
M. Obama avait dénoncé mercredi dernier l'annonce de nouvelles constructions israéliennes à Jérusalem-est annexée, estimant que cela pouvait "finir par être très dangereux". Mais sans menacer Israël d'aucune conséquence concrète s'il allait de l'avant avec ces nouvelles constructions.
M. Abbas achevait mardi une visite de deux jours à Buenos Aires, une semaine après la visite en Argentine du président israélien Shimon Peres. Il s'est auparavant rendu au Brésil et doit poursuivre sa tournée latino-américaine mercredi au Chili.
Il l'achèvera au Venezuela, où il doit rencontrer pour la première fois vendredi le président Hugo Chavez, grand défenseur de la cause palestinienne, a-t-on indiqué mardi de sources officielles vénézuéliennes.
Au mois de janvier, le président vénézuélien avait rompu les relations diplomatiques avec Israël, qu'il avait qualifié d'Etat "génocidaire" et "assassin" après l'offensive militaire israélienne dans la bande de Gaza.
Trois mois plus tard, le Venezuela avait inauguré une représentation diplomatique palestinienne à Caracas en présence du ministre des Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, Riad Al Malki.
Les Palestiniens "attendent des Etats-Unis qu'ils fassent pression sur Israël pour qu'il respecte le droit international, pour qu'il mette en oeuvre la feuille de route", a souligné M. Abbas.
"Ils peuvent faire deux choses: faire pression sur les Israéliens pourqu'ils rejettent les colonies et faire pression pour qu'ils acceptent de se retirer derrière les frontières de 1967", a précisé le président palestinien.
Lundi, son homologue argentine Cristina Kirchner avait également critiqué Washington, estimant que "les Etats-Unis pouvaient faire davantage que ce qu'ils font".
M. Obama avait dénoncé mercredi dernier l'annonce de nouvelles constructions israéliennes à Jérusalem-est annexée, estimant que cela pouvait "finir par être très dangereux". Mais sans menacer Israël d'aucune conséquence concrète s'il allait de l'avant avec ces nouvelles constructions.
M. Abbas achevait mardi une visite de deux jours à Buenos Aires, une semaine après la visite en Argentine du président israélien Shimon Peres. Il s'est auparavant rendu au Brésil et doit poursuivre sa tournée latino-américaine mercredi au Chili.
Il l'achèvera au Venezuela, où il doit rencontrer pour la première fois vendredi le président Hugo Chavez, grand défenseur de la cause palestinienne, a-t-on indiqué mardi de sources officielles vénézuéliennes.
Au mois de janvier, le président vénézuélien avait rompu les relations diplomatiques avec Israël, qu'il avait qualifié d'Etat "génocidaire" et "assassin" après l'offensive militaire israélienne dans la bande de Gaza.
Trois mois plus tard, le Venezuela avait inauguré une représentation diplomatique palestinienne à Caracas en présence du ministre des Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, Riad Al Malki.