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Les collectifs étudiants, qui coopèrent avec le gouvernement Bachelet sur son projet de réforme de l'éducation, ne se sont pas associés au rassemblement.
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Mais la manifestation a illustré les frustrations de la société chilienne, où dix ans de croissance économique ininterrompue n'ont pas résorbé les inégalités, ainsi que l'ampleur des attentes après les quatre années du mandat de Sebastian Piñera.
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JOSÉ SANTOS MILLAO, DIRIGEANT NATIONALE DE L'ORGANISATION MAPUCHE « AD-MAPU » ACCOMPAGNÉ PAR UNE MILITANTE. PHOTO UPI |
Quarante organisations militant pour différentes causes (protection de l'environnement, droits des communautés indigènes, droits des homosexuels) avaient appelé à ce rassemblement.
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« Il ne s'agit pas d'une manifestation pour ou contre Bachelet, mais d'une alerte lancée à la classe politique pour qu'elle sache que le peuple a des exigences », a déclaré Oscar Rementeria, porte-parole du mouvement pour la reconnaissance des droits des homosexuels Movilh.
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Les manifestants ont également réclamé une nouvelle Constitution à la place du texte hérité de la dictature d'Augusto Pinochet.
Lors de sa campagne victorieuse, Michelle Bachelet, de retour au pouvoir après un premier mandat (2006-2010), s'est engagée à réformé la Loi fondamentale.
(Felipe Iturrieta; Eric Faye pour le service français)
(Felipe Iturrieta; Eric Faye pour le service français)