"La majeure partie du Chili n'a pas souffert de la dictature. Au contraire, elle s'est sentie soulagée. Le peuple y a gagné. Les rues ont commencé à être nettoyées, le travail a repris", a déclaré Miguel Otero. Pour le quotidien argentin Página 12, les propos de ce diplomate "rouvrent une vieille blessure qui a beaucoup de mal à se refermer". Plusieurs parlementaires chiliens ont réclamé la démission d'Otero. Ce dernier a présenté ses excuses et expliqué que ces propos avaient été mal interprétés.